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jeudi 31 octobre 2024

Je unzufriedener die Ferien-Gäste und Zweitwohnungsbesitzer in einer Feriendestination sind, desto schlechter sind die Preise für Immobilien auf dem Markt

UBS Alpine Immobilien Fokus. Verbier hat die teuersten Ferienhäuser in den Alpen. Insgesamt sind die Preise für Schweizer Ferienhäuser in den letzten vier Quartalen um knapp 4% gestiegen. Wir erwarten, dass sie dieses Jahr stagnieren. In dieser Studie analysieren wir die Immobilienmärkte in 33 Schweizer Ferienorten anhand einer breiten Palette von Indikatoren. Zusätzlich untersuchen wir mehrere Top-Alpenferienorte ausserhalb der Schweiz. Von 43 ausgewerteten Feriendestinationen figuriert Anzère an letzter Stelle. Über den folgenden Link UBS Alpine property focus gelangt Ihr zu allen Informationen, welche für Sie als Zweitwohnungsbesitzer, aber auch für die Tourismusverantwortlichen in Ayent und Arbaz dienlich wären, würden diese nicht nur die Interessen der lokalen Politikern, Investoren und Gewerbe vertreten. Mit dem Projekt Anzère 2040 wird eine französische Marketingfirma "Protrourisme" engagiert, welche wie bereits beim Projekt Anzère 2025 Irrtum und Illusion in Form einer Mogelpackung den Steuerzahlern präsentieren soll. Protourisme hätte bestimmt die Erfahrung und Kompetenz für eine glaubwürdige Vision, realisierbare Ziele und erfolgreiche Strategie. Die Lokale Politik und die örtlichen Gewerbebetriebe, allen voran Télé Anzere SA, Anzère Spa & Wellness SA, aber auch die Anzère Tourisme SA wissen, dass ihr Projekt nicht funktionieren wird, weshalb Protourisme als Alibi-Organisation zu dienen hat. Wer zahlt befiehlt. Zweitwohnungen werden von Einheimischen als Rendite- oder Spekulationsobjekt gekauft. Für auswärtige Käufer von Zweitwohnungen ist weder Rendite, noch Spekulationsgewinne ein Thema, sondern die Lebensqualität steht im Vordergrund. Es interessiert nicht, ob die Betten nicht immer warm sind, was auch in den Hotels von Anzère während 9 Monaten im Jahr nicht der Fall ist.

1 commentaire:

  1. Une approche positive de la problématique pour remédier au déclassement de la station d'Anzère, comme le suggère Mr. Mottet, est certainement la bonne attitude.

    C'est précisément l'approche recherchée avec constance par l'Association Anzère R2, ce que Mr Mottet, à sa décharge, ignore sans doute, n'étant pas complètement informé de nos initiatives.

    Nous plaidons pour rechercher des recettes complémentaires pour le développement de la station et de ses "territoires" pour parler comme Protourisme, en faisant payer aux touristes de passage leur juste contribution;
    Nous plaidons pour l'affectation de la plus grosse partie de la TSF à un portefeuille électronique permettant aux R2 de dépenser dans le commerce et les services locaux qui s'inscrivent dans un programme commun de développement de l'offre;
    Nous plaidons pour un règlement sur la TSF plus juste et plus équilibré et avons proposé un texte ;
    Nous plaidons pour une répartition plus équilibrée des moyens sur l'ensemble des communes en ce inclus la périphérie et en faveur d'un tourisme familial 4 saisons plutôt que de les concentrer sur la saison d'hiver en soutien de Télé Anzère qui devrait être privatisée et supporter pleinement la totalité de ses coûts d'exploitation plutôt que d'amputer les moyens de l'ATSA, pour que ceux-ci puissent être affectés conformément à l'objectif ci-dessus ;
    Nous plaidons pour une réorganisation du cadre institutionnel pour donner plus de poids aux R2 ( leur juste poids dans l'économie et la vie sociale sur l'Adret) et pour des comptes transparents ;
    Nous plaidons pour un abandon de la politique de bétonnage et de promotion immobilière pour plus de durabilité pour assurer l'avenir
    etc...
    En regard de nos efforts et de nos propositions concrètes,
    Nous sommes tenus à l'écart des processus décisionnels et traités comme quantité négligeable, notamment dans des consultations bidon comme celle qui a été organisée fin décembre 2023 et dans le comité ad hoc piloté par l'ATSA ;
    l'ASPA, poussée à le faire par ceux qui contrôlent le secteur à Anzère dans un entre-soi qui fait fi des conflits d'intérêts et surtout de l'intérêt général, cherche à faire exclure notre association de la structure faîtière suisse (sans y être parvenue) et refuse nos efforts de rapprochement pour mieux servir ensemble les intérêts des R2 ;
    L'Agache, l'organe local de propagande, refuse de publier les informations concernant les activités de notre association;
    Plusieurs responsables locaux (les noms sont disponibles) n'hésitent pas à tenir des propos populistes d'une élévation douteuse, invitant ceux d'entre nous qui les dérangent "à dégager" ;
    Nous devons constater les manquements de parole et le non respect des promesses de Anzère 2025, comme cela ressort assez unanimement des avis exprimés lors des ateliers thématiques en cours ;
    Les services de l'Etat du Valais (affaire économiques, contrôleur financier) préfèrent ignorer la réalité et fermer les yeux, pour ne pas dire davantage ;
    etc..
    Comme le souligne, notre Président Albert Ulrich, ne nous trompons pas sur qui fait preuve d'une approche positive.

    Mais restons tous positifs : les "décideurs" ont la possibilité de réaliser une vraie rupture du modèle qui a conduit au classement d'Anzère en dernière position dans l'étude UBS et au réveil des R2, inquiets de ce recul.

    Cela nécessite un diagnostic sans indulgence des faiblesses et des manquements, de l'imagination et un peu de courage.

    La balle est dans leur camp. Nous nous resterons positifs et vigilants.

    Bien à vous,

    PJD

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