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lundi 21 octobre 2024

 


Anzère 2040 : un futur qui ne nous ressemble pas et un projet qui ne nous rassemble pas !

Anzère Tourisme ( ATSA) et ceux qui contrôlent cette structure ont lancé, après une consultation bidon fin 2023, un plan "stratégique"  pour définir le futur de la station d'Anzère et des "territoires" qui l'entourent.  Ne nous y trompons pas : le but de cette communication et de cette "démarche citoyenne" est d'enrober la pilule pour masquer un nouveau giga-projet de promotion immobilière et de bétonnage de la montagne. Lors de l'introduction de la taxe de séjour forfaitaire sur les secondes résidences, il y a quelques années, les mêmes avaient déjà utilisés la même technique de communication et d'enrobage. Il s'agissait alors de "réveiller la belle endormie".  Cette fois-ci il s'agit de "coconstruire un futur qui nous ressemble et un projet qui nous rassemble", rien que cela, à coût de consultants et d'experts et "d'ateliers de parole" minutés sans ordre du jour et avec l'obligation, pour avoir droit à la parole, d'être politiquement correct, c'est à dire de ne pas contredire la doxa des initiateurs de ce projet. Ceux-ci ont réussi à faire d'Anzère la station de montagne la plus mal notée dans l'étude qu'UBS réalise annuellement sur l'attractivité des stations de montagne et ils persévèrent (https://www.ubs.com/global/en/media/display-page-ndp/en-20240528-alpine-property-focus.html). Il ne s'agit de rien d'autres que d'augmenter les " lits commerciaux " et d'alimenter, à charge de la collectivité, une entreprise commerciale ( TeleAnzère) avec le tourisme d'un jour. Ce projet d'une pauvreté d'imagination et d'anticipation ne peut pas nous ressembler et ne rassemblera pas les seconds résidents qui aspirent à une station familiale, avec une vraie approche "quatre saisons", respectueuse de la nature et une offre touristique plus qualitative.  Ne nous laissons pas enfumer ! 
(PJD - Arbaz)


3 commentaires:

  1. Oui, le vieux disque de « visions » est présenté tous les quelques années sous un nouvel habit. Les intérêts des investisseurs locaux restent les mêmes, seule la technique de manipulation pour apaiser les contribuables est réadaptée.

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  2. Ich war heute an der zweiten Sitzung. Ich bin nun seit 35 Jahren R2 in Anzère. In der Kommunikation zwischen R1 und R2 kann man feststellen, dass R2 nicht wirklich willkommen sind. Geld ja, Aufenthalt nein. Bei 400 fixen Einwohnern hat man leider immer noch nicht erkannt, dass die Station ohne R2 am Boden wäre. Das lokale Gewebe (Sanitär, Heizung, Fassaden etc) wäre am Boden. Aber man will es nicht zur Kenntnis nehmen

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    1. Herzlichen Dank für Ihren Kommentar.
      Ja, die Zweitwohnungsbesitzer kaufen Grundstücke, Immobilien, engagieren Notare, Architekten, beauftragen Gewerbebetriebe für Renovationen und Reparaturen, bezahlen die vollen Grundgebühren für Wasser, Abwasser, Abfallentsorgung wie die Einheimischen. Neben Vermögens- und Einkommenssteuern dürfen die R2 gar noch Kurtaxen bezahlen, obwohl die lokale Politik lieber den Massentourismus fördert. Anzère ist sich nicht bewusst, dass die R2 die besten Botschafter der Destination sind, ansonsten würden Zweitwohnungsbesitzer nicht dermassen übel schikaniert und wie Nutzvieh behandelt.

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